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février 20, 2015 à 2:30 #4892Forum ARTLHParticipant
Bonjour à toutes et tous :huh: ,
Je viens vous solliciter dans le cadre de la refondation de la fonction transport patient au CHRU de Nancy.
En effet, parmis les actions concourrantes à la bonne réussite du projet, se pose la question de la gestion de maintenance et de l’identification des brancards destinés au transport sanitaire motorisé du patient .
Questions (dans vos établissements et / ou services respectifs):
1- Quelle est l’organisation quant à la gestion de maintenance préventive et curative de vos brancards ?
2- Disposez-vous d’outils informatiques institutionnels (GMAO) permettant un suivi, une traà§abilité et la possibilité d’effectuer un reporting fiable à vos Directions concernant ce sujet ?
3- Utilisez-vous un dispositif quelconque permettant la bonne identification de vos dispositifs? Voir màªme de les géolocaliser (RFID,…)?
4- L’organisation de votre établissement vous permet-elle de n’utiliser qu’un brancard unique par véhicule ambulancier ?Je vous remercie de vos retours mannligapotek.com.
Bien à vous,
Cédric HUBERT
Ingénieur Responsable de la fonction Transport Patient du CHRU de Nancymars 9, 2015 à 4:50 #5066Forum ARTLHParticipantBonjour Cédric,
A Toulouse, nous ne laissons jamais nos brancards dans les services car ils font partie intégrante de l’ambulance.
Certes, ce n’est jamais facile avec les services, surtout de consultations, quand nous sommes devant le cas de figure d’absence de brancards pour transférer le patient, mais soit ils passent le patient rapidement, soit nous menaà§ons de repartir avec car ils est hors de question de rester bloquer pendants des heures…
Bien entendu, il nous arrive de négocier sur le délai d’attente mais laisser le brancard de l’ambulance dans le service est la pire des solutions a notre sens.
De plus, l’habitude sera vite prise et tu chercheras tes brancards partout, ce qui semble d’ailleurs àªtre le cas !
Il faut àªtre trés strict sur le sujet et ne pas lacher car sinon c’est la porte ouverte a toutes les dérives…Cordialement.
JL DUFLOT
CHU Toulouse -
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